Nathalie Palayret
Le livre qui fait du bien : La tristesse des éléphants

Un livre pour rire, pleurer et s'émouvoir...
La tristesse des éléphants de Jodi Picoult, traduction de Pierre Girard (éditions Actes Sud)
Le pitch : Jenna avait trois ans quand sa mère, spécialiste des éléphants, a disparu. Dix ans plus tard, elle décide de partir à sa recherche avec l'aide d'une voyante qui ne voit plus grand chose et d'un détective alccolique.
Pourquoi ça fait du bien : on y parle de l'amour d'une file pour sa mère, d'une quête acharnée pour la retrouver mais aussi de deuil et de séparation avec beaucoup d'humour. Il est bien difficile de ne pas trouver les personnages attachants et de ne pas admirer l'obstination de Jenna.
L'extrait : "Je pense que le chagrin est comme un canapé hideux. On ne s'en débarrasse jamais tout à fait. On peut faire de la décoration autour : jeter un plaid pardessus ; le pousser dans un coin de la pièce - mais finalement, on apprend à vivre avec."
Les premières pages : ici